Sur les livres de recettes

Cette semaine, on s’est focalisé sur les livres de recettes. Les présentations en cours m’ont beaucoup intéressé parce qu’elles ont réussi à montrer comment la cuisine française est affectée par les cultures des autres pays. Dans le livre avec 30 recettes de soupe, chaque plats viennent d’une partie différente du monde comme la Libye, l’Algérie, et l’Italie par exemple. Celui sur les pâtes illustre comment plusieurs des gens de France s’associent avec l’identité culturelle de ce pays à côté. Dans le livre que j’ai lu avec Aicha, il y avait beaucoup de pizzas qui montraient aussi l’influence d’Italie. On a vu l’influence du Japon avec la sauce soya dans nôtre lecture, et « ramen » dans celle de Jean et Alexandra. À cause de tout cela, on peut voir que les étrangers jouent un grand rôle aussi en ce qu’on considère la gastronomie française.

Cet exercice de lecture m’aidait à déconstruire un récit que j’avais dans ma tête en pensant à la cuisine française. Dans les romans qu’on a lu et les films qu’on a regardé, plusieurs personnages de la classe populaire ont dépensé tout leur argent qu’ils ont gagné pour créer des grands festins. On a aussi vu comment la classe bourgeoise en ancien régime avait plus de choix alimentaires grâce aux moyens financiers de les soutenir. À cause de tout cela, j’ai pensé que la cuisine française coûte beaucoup d’argent. Mais ce n’était pas exactement le cas. J’ai associé les grands festins avec la nourriture quotidienne, mais ce n’est que pour les fêtes ou d’autres grandes occasions. En central, on peut cuisiner un plat français avec des aliments faciles à trouver et pas vraiment chers. On peut aussi dîner au restaurant sans dépenser trop d’argent. Donc, la cuisine française est vraiment plus accessible que j’ai pensé.

Comment Le Grand Restaurant introduit un règle d’or pour les films satiriques

De tous les films qu’on a regardé, Le Grand Restaurant était mon préféré. Dans cette comédie extraordinaire, presque aucune chose n’échappe à la moquerie. A mon avis, ce chef-d’œuvre cinématique sert comme coup de cœur dans le genre satire.

On commence le film en voyant une dérision ardente de la haute cuisine française. Le réalisateur introduit les spectateurs au restaurant d’intérêt en montrant le reign autoritaire de son dirigeant M. Septime, l’homme qui donna son nom à l’institution. Quand un grand figure politique disparaît dans le restaurant, on voit la vraie incompétence du patron qui prend trop de mesures d’hospitalité en servant ses invités importants. Quand le commissaire divisionnaire interroge Septime, on voit qu’il ne tient plus une position de pouvoir en dehors du monde gastronomique. Dans la mission de découvrir les ravisseurs du président, on voit Septime toujours désemparée dans une domaine qu’il ne comprend pas. Le film se moque de ce personnage principal du début à la fin.

On voit aussi une dérision du système policier dans les parties du film qui se concentre sur les efforts de commissaire divisionnaire. Ce personnage suit une diversion avec trop de confiance. Les spectateurs apprennent tout de suite que les suspects de la mission n’ont rien à faire avec enlèvement du président. Le commissaire se trompe en croyant de cette misinformation jusqu’à ce que les malfaiteurs eux-mêmes lui montrent sa grande erreur. Le réalisateur ne s’arrête pas là avec de dérision : il se moque même des malfaiteurs aussi désemparés en essayant de découvrir les ravisseurs actuels.

La comédie bien faite se moque tout sans arrêt. Je pense que l’humour et l’ironie rendent ces œuvres satiriques mémorables. L’autre chef-d’œuvre satirique qu’on a lu dans notre cours, L’Aventure de Walter Schnaffs, crée des thèmes forts principalement avec la moquerie. Sans ces fortes dérisions, j’anticipais que l’histoire n’aurait pas le même effet.

Impressionniste : nom / adj

Ce mot décrit l’art visuelle en XIX d’un mouvement artistique qui dépeint des expériences subjectives au lieu de la réalité. Des icônes culturelles comme Claude Monet, Paul Cézanne, et Edgar Degas ont créé des œuvres révolutionnaires qui illustrent l’approche de l’époque. Émile Zola, un écrivain célèbre de XIX, a grandi à Aix-en-Provence avec Cézanne, qui a bien influencé son style de langage. Dans son roman Le Ventre de Paris, Zola a écrit des passages intrigants qui utilisent les cinq sens pour caractériser des perceptions subjectives d’un environnement.

Dans le premier chapitre, Zola peint des pictures vivides avec de la langue pour illustrer comment on peut percevoir l’environnement de la scène. Au début, le narrateur décrit le paysage en se focalisant sur le subjective, pas seulement le monde objectif. Il explique les sons qui résonnent, des vues impressionnantes, et l’odeur qui subsiste. Il divertit l’oreille en contextualisant l’audio intriguant : « Au milieu du grand silence, […] les voitures de maraîchers montaient vers Paris, avec les cahots rythmés de leurs roues » (13). Il dépeint l’ambiance visuelle en parlant des « becs de gaz » qui allument seulement certains aspects de l’environnement autour de lui (13). Zola entre dans l’esprit du personnage principal Florent, pour offrir une perspective personnelle : « L’odeur fraîche des légumes dans lesquels il était enfoncé […] le trouble jusqu’à l’évanouissement. » (18)

Pourquoi parler de l’impressionnisme sur un site web dédié à la cuisine ? Il y a une semaine, on a participé à un exercice avec nos camarades en cours de grammaire. D’abord, on a tenu des aliments sans les regarder pour introduire la touche dans notre perception de la nourriture. Ensuite, on a devenu de l’identité des odeurs différentes, parce que l’odorat influence nos expériences culinaires aussi. L’objectif de cet exercice était de montrer comment tous les sens, pas seulement le goût, jouent un rôle dans le monde gastronomique. Pour retourner à ma question, l’impressionnisme se focalise sur la vue, le son, l’odeur, la touche, et le goût, qui sont intégrables en comprendre l’expérience de manger.

En pensant de la visite aux Halles

Cette semaine, en fin de cours mercredi, on a visité les Halles d’Avignon. C’était ma première fois, donc j’étais vraiment reconnaissant de l’opportunité de se promener dans un endroit plein de produits divers et de bonne qualité. Jusqu’à ici, j’ai fait mes courses au kiosque à produits agricoles, à l’épicerie, et au supermarché, tous sur la Rue de la Carreterie près de mon logement. J’ai acheté des fruits et légumes à M.Y. Primeurs, du pain et de la nourriture en conserve à Carrefour Drive Piéton, et des petit produits en Alimentation Generale. Ce qui me donnait du mal et que j’achetais des choses aux boutiques avec différentes heures de service. De plus, j’avais envie de coordonner où je vais pour satisfaire tous mes besoins alimentaires.

Aux Halles, j’ai l’opportunité de tout trouver au même endroit en même temps. Les légumes et les fruits se trouvent près du fromage, de la viande, la pâtisserie, et plusieurs autres aliments tous offerts aux différents marchands. J’ai acheté des avocats plus doux et mûrs que celui de M.Y. Primeurs. J’ai commandé les olives frais qu’on ne peut pas trouver à Carrefour Drive Piéton. J’ai reçu meilleurs service n’importe où aux Halles en comparaison avec celui que j’ai reçu en Alimentation Générale.

Dans l’avenir, j’espère en profiter de tous ces bénéfices. Mes vieilles habitudes m’ont donné du mal dans ma vie personnelle. Avec mon ancienne routine, j’ai acheté une ou deux choses à la fois et j’avais difficulté à bien me nourrir. Mon frigo était vide et ce que je mangeais ne goûtait pas bon. Si je fais mes courses aux Halles, je pourrais acheter plus à la fois pour mieux manger.. J’aurais plus de possibilités alimentaires et je pourrais utiliser des épices, du beurre, et de l’ail en cuisinant. J’ai hâte d’essayer quelque chose de nouveau et je souhaite améliorer cet aspect de ma vie.

Le Palais des Papes

Mercredi matin, on a visité le palais des papes, un événement organisé par l’Institut d’Avignon. Pendant notre visite, le guide nous a montré la grande salle à manger ou le pape dînait avec ses hôtes. Le guide nous a expliqué que les repas seraient une façon de montrer son pouvoir politique. Cela me rappelle de l’article « à la table des diplomates » qui parle de l’utilisation de l’excès dans la cuisine de noblesse pour démontrer leur puissance. J’ai apprécie vraiment le lien entre l’histoire partagée en découvrant la ville et les sujets qu’on aborde en cours.

On a aussi appris dans la visite que les hôtes ne mangeaient qu’avec une cuillère : ils n’avaient pas accès d’une fourchette ou un couteau pour protéger la sécurité du pape, qui était un grand figure politique au Moyen Age. De plus, un domestique ou un chien a participé aux tests de goût pour assurer que la nourriture n’est pas empoisonnée. La séparation entre l’Église et de l’État s’est passée après la révolution, pendant le XX siècle, donc quand les papes habitaient en Avignon, ces mesures ont été utilisées pour interrompre des essais de les assassiner.

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