La Cuisinière Provençale

Cette semaine, Evangeline et moi, nous avons donné une présentation sur le livre de cuisine, La Cuisinière Provençale. Il était écrit par Jean-Baptiste Reboul, un chef de Marseille, pour enseigner aux femmes et aux filles comment cuisiner les plats traditionnels de Provence. Il a été publié pour la première fois en 1897, mais l’édition que nous avons lu était le 26ème, publié en 1997. En étudiant le livre, nous avons décidé que l’audience était les femmes provençales de la classe moyenne. L’auteur a dit directement que le livre était pour les femmes, et la mère d’accueil d’Evangeline a dit qu’il était traditionnel pour les mères de le donner à leurs filles quand elles se marient pour qu’elle pourraient cuisiner pour leurs maris. Tous les plats viennent de la cuisine de Provence et utilisent les produits de la région. Les recettes ne sont pas de la haute cuisine, elles sont pour cuisiner au quotidien. Le langage était simple et direct, sans les descriptions superflus, sans des photos. L’auteur a souligné l’importance de la qualité des produits, mais pas nécessairement qu’ils devraient être très luxe. Cette édition a été publiée cent années après la première, alors il y a beaucoup de recettes dans le livre qui n’est pas toujours faites. Mais, à l’époque et pour plusieurs d’années après sa publication, La Cuisinière Provençale était le livre le plus essentiel et classique de la cuisine provençale. Le contenu du livre comprend les menus du déjeuner et du dîner pour chaque jour de l’année, déterminé par les produits et quand ils sont disponibles. Il y a des recettes de potages, de viande, de légumes, de desserts, de conserves, et de plus. C’est un livre de cuisine compréhensif et je peux voir pourquoi il était si utilisé par les cuisinières provençales. Je pensais qu’il était intéressant d’étudier un livre de cuisine comme un vrai livre, parce que je ne cuisine pas et je ne pense pas des livres de cuisine comme des choses qu’on peut lire vraiment. J’ai presque voulu acheter une copie pour moi-même.

Décrire son préférence de comment la viande est cuite

Il y a cinq mots pour décrire comment on veut sa viande cuite. Je pense qu’il est très important de savoir ces termes parce que, sans eux, il est très difficile de communiquer sa préférence. Le premier est “bleue,” qui signifie très peu cuite. Ça indique que la viande est rouge à l’intérieur, avec beaucoup de sang. Le première fois que ma mère d’accueil a fait de la viande, j’ai dit que je la préfère “pas trop cuite.” Pour elle, ça signifie que je préfère ma viande bleue, qui n’est pas vraie. Maintenant, chaque fois qu’elle cuit la viande, ma portion est bleue et je n’ai pas le courage de lui dire que je ne l’aime pas. J’avais décidé d’apprendre à aimer le sang. Le dernier terme est “saignante,” qui signifie peu cuite. Ce terme indique aussi que la viande est très rouge et a beaucoup de sang, mais moins que la viande bleue. C’est la préférence de mon père, alors quelque temps c’est comment ma viande est cuite, mais c’est toujours un peu pas assez cuite pour moi. Dans le milieu de l’éventail, c’est “rosée,” qui signifie presque cuite. Ça indique que la viande est rosée à l’intérieur, pas toute cuite, mais pas crue. C’est la préférence du reste de ma famille d’accueil et aussi ma vraie préférence. Je sais que je devrais dire la vérité que je veux que ma viande soit cuite de la même façon qu’eux, mais pour quelque raison, je me sens très gênée de ça. Ensuite, c’est “à point,” qui signifie que la viande est juste cuite. Il y a juste un peu de rose, et c’est un niveau acceptable pour moi. Enfin, c’est “bien cuite,” qui signifie très cuite, pas de rose, toute marron. Je pense que c’est dégoûtant; il n’y a plus de saveur. J’ai une rancune éternelle contre les personnes qui veulent leur viande bien cuite. Ce sont les mots pour décrire comment on veut sa viande cuite, et aussi mes opinions de chaque niveau si c’est utile.

La Ratatouille

La ratatouille est un plat traditionnel de Provence. Un ragoût végétarien, le plat classique comprend d’aubergine, de courgette, de poivron, de tomate, d’oignon, et d’ail. Une combinaison des mots “rata” et “touiller,” le plat était inventé dans le 18ème siècle en Provence comme une solution au faim. Les fermiers pauvres ne pouvaient rien gaspiller, alors ils ont cuisinés tous leurs légumes restants pour des heures dans un ragoût. Pendant le 20ème siècle, le plat a commencé à se trouver dans les menus des restaurants. Quand je suis arrivé en Avignon, je ne savais pas que la ratatouille était née en Provence. Je savais seulement ce qui est dans le film de Disney. De plus, je ne savais pas qu’elle serait si importante et populaire. Ma mère d’accueil vient d’Avignon et son mari vient de Marseille. Ils sont très Provençaux. Chaque semaine, elle va à un marché pour acheter beaucoup de légumes frais pour nos repas. Ce jour-là, elle fait une ratatouille, commence à la cuisiner le matin et finit le soir. Ce soir, nous la mangeons au dîner et elle est toujours délicieuse. En plus des autres plats qu’elle fait, ma mère me demande pendant tout le repas si elle me plait. Je pense qu’elle est très fière de sa ratatouille, et elle a bien raison pour ça. Le reste de la semaine, nous mangeons ce qui reste, et elle est encore très bonne. Je veux demander la recette de ma mère pour cuisiner chez moi. Ma colocataire est une végétarienne et je sais qu’elle l’aimerait. De tous les plats que je mange ici, la ratatouille me paraît être la plus provençale, alors je veux la souvenir comme une pièce de la culture ici. Comme un petit cadeau ou une carte postale, elle sera un grand souvenir de mon temps à Avignon.

Notre sortie scolaire

Quand Prof Corbin nous a dit que nous irions à la Bibliothèque Ceccano pour une sortie scolaire, je ne savais pas qu’est-ce que ça impliquerait. J’ai imaginé un tour de la bibliothèque, poser les questions, regarder les livres. Cependant, quand nous sommes arrivés, l’homme qui travaillait là avait apporté les livres au sujet de la cuisine à la table où nous étions. Le tâche était expliquée. Nous devions choisir des livres et les analyser comme s’ils étaient les sources dans le recherche de la gastronomie française. J’ai pris le premier livre que j’ai vu, Gastronomie et boissons, livres anciens, romantiques et modernes, important collection de menus français, anglais, américains. C’était une sorte de bibliographie, une collection des livres et documents au sujet de la gastronomie, et aussi des menus internationaux. Le table vous a dit les catégories et vous pouviez trouver ces pages dans le livre pour chercher un document d’un certain siècle ou un menu d’un certain pays. Il y avait un petit paragraphe avec des informations sur chaque source. Mes pensées initiales étaient qu’il était le catalogue pour la partie gastronomie d’une bibliothèque ou d’une librairie. Cependant, après lire plus attentivement, j’ai trouvé qu’il était une liste des articles pour une vente aux enchères qui s’est passée “lundi 12 décembre 1994 à 11 heures et 14 heures.” Ce livre était un peu intéressant, mais enfin il était juste une bibliographie. Le deuxième livre que j’ai analysé était plus amusant. C’était La gastronomie, par J. Delille, la seconde édition publiée en 1807. C’était une collection de chants au sujet du dîner, de la gastronomie, de l’histoire, de la politesse, de l’étiquette, etc. Comme des poèmes épiques, les chants ont des vers très longs et difficiles à comprendre. Pour mon extrait, j’ai lu le deuxième chant, qui s’appelait “le premier service.” Il s’agit des vers fleuris sur comment servir le premier service et les différents coutumes et goûts à utiliser. L’auteur a mentionné les villes, comme Lyon, et les régions, comme l’Auvergne et la Brelle, qui se trouvent dans le sud-est de la France. Alors, je supposais qu’il venait d’autour de là. Je continue à être curieux des choses de ce livre. Je ne comprends pas le but du livre. Est-ce que vous chantez les chants au dîner? Au sujet du dîner? Pas du tout? C’est une idée bizarre pour un livre de la gastronomie. Avant cette sortie scolaire, je n’avais jamais aller à la bibliothèque pour faire des recherches avec les vrais livres. Je pense que je m’amuserais beaucoup plus si j’ai fait toutes mes recherches comme ça.

Les repas avec ma famille d’accueil

Je savais avant de venir à Avignon que les repas gastronomiques servaient à plusieurs services. Je pensais que c’était juste pour les grandes fêtes ou les repas importants. Cependant, c’est le cas pour tous les dîners que je mange avec ma famille d’accueil. Chaque soir, je m’assois à la table et mon père d’accueil m’offre une verre du vin. Ensuite, ma mère sert un entrée, peut être une salade de tomates et du basilic ou un bol de tabouleh. Après ça, il y a un plat de viande, du saucisson ou du poulet, avec une légume, comme les lentilles ou les courgettes. Quand nous finissons ce plat, une assiette d’une sélection des fromages est mise sur la table, que nous mangeons avec du pain, une variété différente chaque soir. Peut être, il y a un fruit, des pastèques ou des raisins. Finalement, il y a un dessert, souvent un petit biscuit ou une glace. Ces repas sont mangés pendant une heure et demie ou deux heures. Tout du long, mes parents d’accueil me parlent, me demandent des questionnaires des états unis et me disent les histoires de leurs vies et de leur fils. Même dans une famille normale, quand il est juste nous trois qui mangeons, les repas sont des rituels élaborés et adorables. Je les attends avec enthousiasme chaque jour.

css.php